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Philaé ❖ Impossible est un mot que je ne dis jamais.

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AuteurMessage

My name is
Philaé Anderson
and i'm trying to survive
☣ MESSAGES : 249
☣ ICI DEPUIS LE : 17/02/2015

Philaé ❖ Impossible est un mot que je ne dis jamais. Empty
MessageSujet: Philaé ❖ Impossible est un mot que je ne dis jamais. Philaé ❖ Impossible est un mot que je ne dis jamais. EmptySam 21 Fév - 21:09


   
“ Philaé Anderson ”
Impossible est un mot que je ne dis jamais.



“ Identité ! ”
Je m'appelle Philaé ou Phi, je suis née le 12 Décembre à Greensville et j'ai donc 26 ans. Je possède 1 arme et elle est la suivante : un couteau et sinon tout ce qui me tombe sous la main

   Actuellement célibataire, j'ai toujours été hétéro. Ma santé est plutôt mauvaise et j'ai la mauvaise/bonne habitude de me mordiller la lèvre quand je suis nerveuse.

   Avant que les morts ne se relèvent j'étais professeur de littérature, je vivais à et je me sentais complétement heureuse. Aujourd'hui je survie grâce aux Solitaire et je suis une Mucius Scaeuola. Quand je croise un rôdeur, je me sent complétement désintéressée par eux, j'ai plus peur des hommes que de ces monstres.

   Tout le monde me dit que je ressemble à Holland Roden.

  Dans la réalité mon petit nom c'est Emilie, j'ai 32 ans et j'ai connu le forum grâce à moi. Je pense être présent(e) 7/7 et enfin je pense que l'on va tout déchirer.
“ Caractère ! ”
J'étais une jeune femme américaine typique comme il en existait des milliers dans ce pays. J'avais une vie de famille stable, une famille aimante. J'étais heureuse de vivre, drôle, ayant une grande vitalité et j'avais du mal à me poser et ne rien faire. Une vrai petite tornade d'énergie incapable de tenir en place, un peu trop bavarde et disant ce qui lui passant par la tête. Voilà qui j'étais à l'époque, une bonne vivante ne se prenant que rarement la tête, je profitais de la vie, car je la savais courte. Les seuls moments où j'arrivais à rester calme et silencieuse, c'est quand il s'agissait des études et de mon avenir. On ne rigole pas avec ces choses là et j'avais pour objectif de devenir bibliothécaire, j'étais déterminée et passionnée. Malheureusement, l'épidémie m'a littéralement changé, se n'est pas les rôdeurs qui ont fait de moi une petite chose chétive ayant peur de son ombre, non se sont les épreuves et surtout les humains survivants qui m'ont complètement détruite. Aujourd'hui, je parle peu, j'ai des choses à dire, mais pendant trois ans, j'ai appris à me taire. Je peux passer des heures assise dans un coin sans bouger le moindre muscle et juste à fixer un point. Les psychologues diraient que je vis un stress post-traumatique, moi je sais juste que pour ne pas souffrir il faut rester le plus discrète possible. Enfin rien n'est perdu puisque de nouvelle rencontre me redonne petit à petit espoir en des jours meilleurs.

“ Histoire ! ”
Je suis née dans une petite ville dans la banlieue de Jacksonville en Floride, la vie y était belle et il faut dire que le soleil toute l'année à toujours fait du bien au moral. Je viens d'une famille plutôt modeste, puisque mes parents étaient tout les deux ouvrier dans une usine du coin. J'ai un petit frère qui avait 4 ans de moins que moi, en effet, ma mère tomba enceinte alors que j'avais un an, malheureusement, elle fit une fausse couche à huit mois de grossesse, elle eut un mal fou à pouvoir retomber enceinte après et cette troisième grossesse fut très difficile pour elle, mon petit frère arriva alors que j'avais 4 ans. Ma mère voulait un bel avenir pour nous, où il ne serait pas question d'aller pointer dans une usine, alors elle nous poussait à travailler et je le faisais avec plaisir. Certains pourraient se dire que j'en faisais trop, mais de part mon caractère, parfois j'avais même l'impression que je pourrais encore faire plus. Heureuse dans la vie, assidue à l'école, mon enfance passa  à une vitesse incroyable. Tout n'était pas rose, je n'étais pas une petite fille parfaite, je fis des bêtises, il y eut des disputes, mais dans l'ensemble j'en garde de très bon souvenir.

Mon enfance pris fin le jour où de nouveaux voisins emménagèrent, un couple avec un fils, Jacob O'Connor, j'avais alors 14 ans et je tombais amoureuse de lui. Il avait deux ans de plus que moi et si au début il me voyait comme la voisine un peu étrange. J'aimais trainer avec lui, il était gentil et bien que plus jeune que lui, j'arrivais à l'aider pour ces cours. C'est quelques mois après son arrivé, alors que je l'aidais pour un problème de math qu'il m'embrassa alors pour la première fois. Notre histoire resta longtemps secrète, juste lui et moi sans se poser de question. Je le pensais vraiment amoureux de moi, je l'aimais et c'est ainsi que je sautais le pas avec lui, s'était un après-midi d'hiver, nous étions dans sa chambre et les choses se déroulèrent normalement. Il voulait même en parler à ces parents qui malheureusement ne m'appréciait pas vraiment. Malheureusement, rien ne se passa comme nous l'aurions voulu, nous avions été inconscient, nous ne nous étions pas protéger et je tombais enceinte de lui. Il était prêt à m'épouser, à assumer l'enfant et surtout à ne jamais me quitter. Je voulais le croire, pourtant quinze jours après l'avoir annoncé à nos parents, je me levais un matin pour trouver la maison des voisins vide, ils ne restaient d'eux qu'une lettre que Jacob avait laisser à mon attention. Il devait les suivre, il n'avait pas le choix, mais il me promettait de revenir quand il aurait 18 ans pour nous retrouver le bébé et moi.

J'étais alors enceinte de quatre mois, j'étais seule pour affronter l'arrivée du bébé, mais je ne perdis pas espoir, j'y crus pendant longtemps, je l'attendis pendant de long mois après son anniversaire. J'accouchais d'une magnifique petite fille, j'avais fêter mes 16 ans depuis six mois, je l'appelais Skye et alors je tentais d'oublier Jacob, je me focalisais sur notre fille et notre avenir dont son père de toute évidence ne ferais pas partie. Heureusement, je n'étais pas seule, ma famille fut un soutient exemplaire pour moi. Grâce à eux, je réussis à continuer mes études, bien sur, je ne pouvais plus faire les longues études dont j'avais rêvé, mais je réussis à avoir mon bac, à passer des concours et à 18 ans je fus embaucher à la bibliothèque municipale. J'étais autonome, je trouvais un appartement et la vie s'écoula lentement, mais surement Skye grandit ressemblant énormément à son père ce qui chaque fois me serrait le cœur, mais je pouvais aisément dire que j'étais heureuse.

Depuis quelques jours, les nouvelles avaient été alarmante, des attaques étrange, une nouvelle maladie et la peur qui s'installait petit à petit. L'école de Skye avait été fermée la veille, je la pris donc avec moi ce jour-là. Je me rendis comme tous les jours à la bibliothèque, je ne devais jamais regretter ma décision, en effet, c'est ce jour-là que tous dérapa, que soudain les morts envahirent la ville et c'est dans la bibliothèque que je trouvais mon premier groupe. Ceux qui m'aidèrent et que j'aidais pendant quatre ans à survivre. Nous étions resté plusieurs semaines dans la bibliothèque, nous étions une dizaine et ils nous fallut du courage pour quitter la sécurité relative des lieux. J'avais appris à les connaitre, à les apprécier, mais surtout à leur offrir toute ma confiance, certains se sacrifièrent même pour la vie de Skye et jamais je ne pourrais rien faire pour les remercier. Notre survie ensemble pris pourtant fin rapidement. Skye avait 9 ans, elle était devenue une petite fille qui déjà savais se servir d'une arme et le faisait sans sourciller quand il s'agissait des rôdeurs. Elle en avait peur, mais elle comprenait déjà le nouveau monde dans lequel nous vivions, peut être même mieux encore que nous adulte n'y arrivions. Nous nous étions installé dans le self d'un lycée, il restait un peu de nourriture et nous pensions y rester quelques jours avant de reprendre la route. C'est à ce moment qu'ils ont débarqués. Il s'agissait de toutes un groupe, ils étaient 12 hommes et 4 femmes. Leur allure et leur manières firent tout de suite monter la tension, je cachais Skye derrière moi, je faisais tout pour la protéger, mon couteau à la main.

Les choses dérapèrent alors, les hommes commencèrent à faire le tri, à abatte ceux qui ne pourrait pas leur servir ou bien qui pouvaient être une menace pour eux. Je fis partie des dernières, j'étais prête à me battre pour sauver ma fille à tuer si cela était nécessaire. Je n'eus pas à le faire, il fut décidé que nous partions toutes les deux pour leur QG. Je n'étais pas naïve je savais ce que les femmes allaient subir, nous n'étions pas en route pour un paradis sans rôdeur, mais pour un enfer où les monstres seraient nos semblables. Je ne pensais pas à moi, je ne voulais que préserver la petite fille qui s'accrochait à moi. Je lui caressais les cheveux, lui chuchotait à l'oreille, lui disant combien je l'aimais et surtout que quoi qu'il arrive, elle devait être forte, fermer les yeux et ne jamais regarder. Je ne pouvais que prier qu'il ne touche pas à elle. Pour une fois je fus exaucé, la sœur d'un des membres du groupe me l'arracha des bras, ils avaient d'autres projet pour elle et je ne dus jamais plus la revoir, alors que moi j'étais poussé dans une chambre miteuse en compagnie de trois autres femmes. Durant neuf mois, je vécu chaque jours le viol, la violence, la torture et si au début je tenais, je m'accrochais s'était grâce à Skye, je vivais pour elle, car même si pour le moment nous étions séparés, je ne pouvais pas l'abandonné, je ne pouvais pas en faire une orpheline dans ce monde de dingue et j'avais le secret espoir de pouvoir un jour quitté les lieux avec elle. Je me battais alors chaque jour, les empêchant de briser celle que j'étais au fond de moi, mais ils y arrivèrent, ils utilisèrent la seule chose qui pouvait complètement m'anéantir, ils tuèrent Skye, un jour, ils entèrent en riant, me lançant au visage le pull ensanglanté de ma petite fille, ils l'avaient balancés aux rôdeurs afin de faire des paris sur quel rôdeur la tuerais en premier.

Je m'effondrais alors, je ne fus plus qu'une poupée entre leur main alors qu'ils souillaient mon corps sans jamais s'arrêter, j'étais devenu folle, enfin c'est l'impression que j'en avais. J'avais tellement lutter en espérant un jour la revoir, que maintenant je me sentais vide et je n'attendais que la mort à mon tour. Seulement la vie est tellement étrange car un mois après la mort de Skye, une nouvelle venue refusa de se laisser toucher, elle réussit je ne sais comment à sortir, elle nous libéra, tuant nos violeurs afin que nous puissions retrouver la liberté. Je ne sais encore comment, je me retrouvais libre me cachant dans une vieille maison à plusieurs kilomètre de ma prison. J'étais léthargique, je perdais la notion du temps et je vécus ainsi pendant trois mois, trouvant de la nourriture parfois, m'armant de ce qui me tombait sous la main quand je me retrouvais face à un rodeur, je me laissais mourir à petit feu. De nouveau la vie ne voulus pas me laisser partir, car un matin, alors que dans un état second je me dirigeais vers un magasin espérant de trouver de quoi grignoter, ils me tombèrent dessus. Un homme et une femme, cela me mit dans un état de nerf monstrueux, je ne pouvais pas laisser m'approcher par celui qui s'appelait Jeremiah, je m'attendais à ce qu'il me saute dessus à chaque seconde. Pourtant je les suivis, ils réussirent à me mettre en confiance et au fil des semaines je réussis à m'ouvrir à eux, à leur faire confiance et à revivre. En faite, je leur serais reconnaissante à vie de m'avoir emmener avec eux ce jour là, car cela me permis de retrouver Skye bien vivante, elle avait été sauvé par la femme qui l'avait emmener ce jour là, malade, elle la laissa partir pour revenir au creux de mes bras. Depuis j'ai confiance en l'avenir et je suis sur que nous nous en sortirons tous ensemble. Surtout que maintenant je peux me poser les questions et si ma famille était encore en vie.


Code:
[color=#ff3300]■■■[/color] HOLLAND RODEN ✗ Philaé Anderson
   
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