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Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé.

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and i'm trying to survive

Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé. Empty
MessageSujet: Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé. Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé. EmptyVen 22 Mai - 18:30


“ Aiden Morgan ”
Le pouvoir corrompt ; le pouvoir absolu corrompt absolument.



“ Identité ! ”
Je m'appelle Aiden, je suis né(e) le 31 décembre 1991 à Richemond et j'ai donc 24 ans. Je possède deux arme(s) et elle(s) est(sont) la(les) suivante(s) : deux Kindjal parfaitement jumelles. Vestiges de la collection de son père.

Actuellement célibataire, j'ai toujours été hétérosexuel. Ma santé est plutôt bonne et j'ai la mauvaise/bonne habitude de laisser mes nerfs prendre le dessus.

Avant que les morts ne se relèvent j'étais étudiant en histoire, je vivais à Richemond et je me sentais un peu perdu au milieu de cette vie qui ne me correspondait pas. Aujourd'hui je survie grâce aux Camp ou solitaire et mon groupe serait plutôt celui des Militis. Quand je croise un rôdeur, je me sens agacé, mais je réagis plutôt rapidement.

Tout le monde me dit que je ressemble à Jamie Campbell.

Dans la réalité mon petit nom c'est Clary, j'ai 24 ans et j'ai connu le forum grâce à un chat qui danse. Je pense être présent(e)7/7 et enfin je pense que pouet ♥
“ Caractère ! ”
Difficile à cerner, Aiden est ce que l'on peut appeler un garçon plutôt lunatique, dont l'humeur varie de jour en jour, voir d'heure en heure sans aucune explication. Parfois, il lui arrivera d'être une personne tout à fait supportable, normale en somme. Qui réussi parfaitement sa vie en société, sans se montrer asocial. & parfois, il sera en revanche tout l'inverse, se renfermant sur lui même, il n'acceptera pas facilement l'approche des gens. En règle général, si on lui demande de se décrire, il s'avouera lui même particulièrement complexe. Si jadis, Aiden fut un petit garçon attachant et souriant, la mort de ses deux parents semble l'avoir totalement changé et bouleversé. Pas du genre à montrer ses émotions, ou a parler de ses sentiments, il a une façon d'affronter la souffrance bien à lui. Pendant ses années lycée, Aiden fut l'exemple même de la popularité. Tantôt adulé, tantôt rejeté de la minorité, il n'a jamais eu aucune difficulté à trouver sa place et a toujours apprécié son statut de "riche héritier".
Véritable force de la nature, Aiden sait faire face ! Jeune, il n'a pourtant pas hésiter à prendre les armes lorsque l'épidémie est arrivé jusqu’à lui. C'est un solitaire qui a un mal fou à accepter la compagnie des autres. Il a très peu perdu en cinq ans, tout simplement parce qu'il avait déjà perdu le peu de famille qui pouvait lui rester...en réalité, il tente tout simplement de survivre, le temps que les choses se tassent.

“ Histoire ! ”
Il passe des heures et des heures à les admirer. Lui qui pourtant à formelle interdiction d'entrer dans cette pièce parce que « Ce ne sont pas des jouets, Aiden ! » ; il parvient tout de même à s'y faufiler lorsque l'envie lui prends de venir admirer la collection de son père. Ce sont des armes, des armes blanches pour la plupart. De splendides armes de collection qui viennent d'un peu partout dans le monde. C'est l'avantage d'être riche. Pouvoir collectionner ce genre de choses belles et hors de prix en général. Souvent, il vient s'asseoir sur un siège, qu'il installe devant une vitrine pour s'imaginer toutes sortes d'aventures. Le genre d'aventures qu'un enfant de neuf ans rêve de vivre, sans se soucier du danger qu'elles impliquent. Il se voient tel un prince, sur son destrier sauver une jolie princesse, ou encore soldat sur un champ de bataille triomphant de ses nombreux adversaire à l'aide de ces deux magnifiques dagues tcherkesses qu'il admire tant elles brillent quand le soleil filtre à travers la vitrine.

***

Télévision, radio, on ne parle plus que de ça. Difficile de ne pas passer à côté, lorsque l'ont voit les mines défaites de tout le personnel de maison. Même à dix ans, il est assez intelligent pour comprendre la gravité de la situation, et pourtant, quand il pose des questions, personne ne lui réponds. Seule Mia, sa nourrice à daigner lui adresser quelques mots avant de fondre en larme. « Les méchants ont gagnés cette fois. » Ça voulait dire quoi, ça ? Et puis, c'était qui les méchants ? Ils avaient gagner quoi ? Il avait froncer les sourcils, mais n'avait plus ajouter un mot de la journée. Ce jour là, il n'avait pas eu le droit de regarder la télévision et frustré, il avait claquer la porte de sa chambre en les maudissant tous. C'est qu'il avait son caractère de mine de rien...et certains auraient pu bien aisément le qualifier d'enfant trop capricieux. Il l'était ! On ne pouvait pas le nier. La famille d'Aiden était riche, et depuis sa naissance, le jeune garçon avait toujours eu tout ce qu'il désirait. « Non », n'était jamais une réponse acceptable pour lui...c'est pour cette raison que ce jour-là, il avait choisit de bouder. D'ignorer la peine autour de lui. Trop habitué à être le centre du monde dans cette maison, il n'avait fait qu'en faire voir de toutes les couleurs à tout le monde ; sans se douter une seconde qu'en ce 11 septembre 2001, il venait de perdre ses parents pour toujours.

***

Il est étrange de constater comme le statut de riche héritier vous offre les meilleures conditions possibles au lycée...ou presque. Étrange de constater comme tout le monde tourne et gravite autour de vous, et ce sans chercher à vous connaître réellement. Pour Aiden, habitué à rester un peu à l'écart ces dernières années, ce fut une révélation. Il constata rapidement qu'il était capable de beaucoup. Capable d'avoir un ami, puis cent. Capable d'avoir une fille dans son lit, puis une autre la nuit suivante et ainsi de suite. Il constata comme il était aisé de blessé et de ne jamais être inquiété...tout ça, parce qu'il avait un compte en banque bien rempli. Celui d'un riche héritier, au caractère un peu étrange parfois mais qui parvenait à tirer sans aucun problème son épingle du jeu. Aiden, devint rapidement le centre du monde de son lycée, comme il l'avait été jadis chez lui. Fort de cette popularité retrouvé, il se mit à fréquenter l'élite, et uniquement l'élite. Ignorant, piétinant même, ceux qu'il jugeaient indignes de le côtoyer. En réalité, le jeune homme se fit probablement à cette époque de sa vie plus d'ennemis que d'amis...mais alors qu'il déambulait dans les couloirs de l'établissement scolaire chaque jour, on pouvait sans mal affirmer qu'il n'en avait finalement que faire.

***

Il lança un sourire moqueur à la jeune femme et en retour, elle lui adressa un regard incendiaire. Le lycée, c'était terminé, l'Université c'était autre chose. Pourtant, on pouvait sans mal affirmer qu'Aiden avait un mal fou à tourner la page. Il continuait de se montrer égal à lui même, parfois même méprisant. Pas que c'était quelque chose de naturel, chez lui, non bien au contraire. Chez lui, le personnel – le même que du temps de ses parents – savait bien que les petites crises, les petites caprices, c'était fini depuis bien longtemps. Il s’était assagit avec le temps, parvenant même à se montrer plutôt doux et gentil en règle générale...pourtant, les mauvaises habitudes ayant la dent dure, il lui arrivait trop souvent de reprendre ses airs supérieurs. Son ton agaçant. La preuve encore maintenant, face à cette jeune étudiante pourtant si adorable qu'il venait de bousculer plus ou moins violemment, renversant sa boisson et étalant sa pile de livres par terre. Le jus de fruit était venu très légèrement tâcher le t-shirt clair qu'il portait...ce n'était pas bien grave, il savait parfaitement que ça partirait au lavage, et puis au pire...ce n'était rien de plus qu'un t-shirt. « Les femmes sont véritablement des empotées ! » avait-il pourtant lancer à travers le couloir, un air de défi dans le couloir. « Que comptes-tu faire pour réparer les dégâts maintenant ? » demanda t-il en poussant les livres par terre du bout du pied. Il lui fallu attendre un petit moment, avant qu'elle ne daigne lui répondre. Ses livres contre sa poitrine, elle plissa les yeux avant de fouiner dans sa poche et de lui balancer une pièce ou deux sur le torse. « Ça devrait suffire pour ton pressing, monseigneur. » dit-elle, avant de s'éloigner laissant Aiden planté au milieu du couloir.

***

Un bordel monstre. Pas qu'un peu d'action ne faisait pas bien au moral non … mais cette fois, on aurait pu repasser. Ça tenait plus du cauchemar qu'autre chose, les morts se multipliaient, le sang coulait à flot et il ne devait sa survie...qu'a un balai qu'il avait emprunté au concierge de l'université, en profitant d'ailleurs pour lui en envoyer un bon coup dans la tête lorsque ce dernier avait tenter de l’agripper pour le mordre. C'était dans ces moments là qu'il se félicitait de s'être lancer dans des cours d'arts martiaux en tout genre. Bon. Il n'en était sûrement pas au niveau de Bruce Lee, mais il avait les bases, il savait de défendre, bouger et envoyer des coups bien placés. Mais pour le moment, le temps était visiblement à la retraite. Il fallait se cacher et c'est dans cet espoir qu'il se dirigea vers le bâtiment des sciences, celui qu'il détestait le plus de part son odeur particulièrement désagréable. Il ouvrit la porte, jetant un œil dans le couloir désert avant de s'y engouffrer. Ici, contrairement à dehors, le silence régnait en maître et rassuré il s'avança, entra dans une salle puis une autre à la recherche d'une arme plus efficace que son balai à moitié cassé. Il en était d'ailleurs à la cinquième pièce...lorsqu'un cri déchira le silence, le faisant ressortir aussitôt. Visiblement, il n'était pas le seul à avoir eu l'idée de venir trouver refuge...à la différence prêt que la jeune femme qui venait d'entrer avait visiblement décider d'emmener avec elle un ami carnivore. Il soupira, en l'observant quelques secondes se débattre avec la porte pour l'empêcher d'entrer, puis il s'avança pour la faire reculer dans un mot et la porte s'ouvrit finalement, laissant entrer le rôdeur. Celui-ci s'avança vers Aiden, lentement et le jeune homme grimaça avant de lui flanquer un coup de balai, brisant d'ailleurs le manche de ce dernier sur le crâne de l'homme visiblement affamé qui continua son avancée sans même sourciller. « Restes pas là ! » lança alors le blond à l'attention de la jeune femme, qui visiblement terrifiée ne bougea d'un pouce. Il soupira...il était désarmé maintenant. Ou plutôt, non. Il ne lui restait que ce pieu de bois à la main, vestige de son balai tant regretté. Il allait devoir se battre...et se salir. Lui qui venait de mettre une petite fortune dans ce sweet sombre à capuche. « T'es pas cool mon pote. » Il s'avança alors, empoigna le rôdeur avant de l'envoyer droit dans un mur, puis, avant que celui-ci ne reprenne le peu d'esprit qu'il lui restait encore...il vint planter son pieu à l'arrière de sa tête, le laissant s'affaisser sur le sol avant de venir relever la jeune femme pour l’entraîner avec lui, celle-là même qui l'avait bousculer une semaine auparavant et qu'il ne reconnu même pas. La jeune fille aux pièces.

***

« Quand on te dit de bouger...bouges !  C'est pas si compliqué. Pourquoi t'as pas bouger ? » Une demi-heure qu'il était en train de l'enguirlander, tout en tentant de se frayer un chemin jusque chez lui pour récupérer des armes. La collection de son père allait enfin être utile à autre chose qu'alimenter ses délires et à prendre la poussière. « Oh ça va hein ! Monsieur l'impoli. D'abord tu me bouscules, ensuite tu me méprises, et maintenant tu me reproches...un truc totalement ridicule. Qu'est-ce qui va pas chez toi ? » Bon, elle marquait un point. Qu'elle bouge ou pas, ça n'aurait pas changer grand chose. N'empêche qu'il aimait bien râler, ça le calmait. « De quoi tu parles ? » demanda t-il finalement. « Je te connais même pas. » La jeune femme s'arrêta nette. Et quoi ? Il avait déjà oublier qu'il l'avait bousculer dans un couloir, avant de lui faire une scène pour une micro tâche orangée sur son t-shirt royal ? « Tu t'en souviens même pas ?! Non mais je rêve. » Cette fois c'est lui qui s'arrêta. Bien sur qu'il s'en souvenait...maintenant qu'elle lui disait. Pourtant, il avait le potentiel d'un bel emmerdeur, alors il était bien décider à lui faire avaler le contraire. « Je me souviens que des trucs importants à ma vie … et des jolies filles. » lança t-il en laissant un sourire moqueur s'accrocher à ses lèvres. Pas qu'elle était laide, non, c'était tout le contraire. Mais elle parlait trop. Et puis, elle paraissait bien trop intelligente. Pas le genre de nana qu'il avait l'habitude de côtoyer. « Maintenant avances, où je te laisses ici te faire bouffer par Madame O'Malley. » ordonna t-il en désignant la vieille dame qui habitait son quartier, et qui avançait péniblement les bras ballants, la tête penchée de côté. « Elle a pas l'air en forme. » Elle lui lança un regard exaspéré. A croire qu'il n'en avait rien à faire de tout ça lui. Elle, elle était au bord des larmes et totalement nauséeuse depuis qu'il lui avait sauver la vie à l'Université...tout son contraire. Lui, il marchait sûr de lui, la traînant avec lui pour on ne sait quelle raison. Elle leva les bras en signe de résignation, avant de se mettre à courir derrière lui pour le rattraper et échapper à la vieille O'Malley qui approchait dangereusement.

***

Il la regardait s'agiter. Elle s'agitait toujours beaucoup trop. Elle avait l'air constemment sur les nerfs, ce qu'il pouvait comprendre. Une vraie pile élèctrique, tout son contraire en réalité. Lui, s'étonnait de parvenir à rester aussi calme. Cinq ans que c'était arriver, que les morts avaient commencer à se relever sans que personne ne sache réellement pourquoi. Cinq années durant lesquelles étrangement, il avait fait en sorte de se montrer, d'être un pilier, un roc. Au début, il n'avait fait ça que pour lui seul, pour éviter de songer à la mort et à la fin du monde qu'il connaissait, pour éviter de laisser « les méchants gagner » encore une fois. Puis, elle était apparue au détour de ce couloir, poursuivie par ce type qui en voulait à sa vie et depuis, c'était principalement pour elle qu'il tenait le coup. Qu'il se montrait fort. Il évitait de montrer sa peur, même quand elle apparaissait. Il jouait les durs, il passait devant elle. Il prenait les risques à sa place...et pourtant rien n'avait changer. Il lui semblait qu'elle était toujours la fille banale qui passe son temps à se chamailler avec le riche héritier. Ils étaient toujours aussi différents tous les deux. Ils passaient toujours autant de temps à s'envoyer des vannes à la figures. Lui, continuait de jouer le garçon moqueur et insupportable et s'amusait toujours de la voir s'agacer pour pas grand chose. Comme en ce moment, sur sa boîte de conserve périmée qu'elle peinait à ouvrir. Un sourire se dessina sur son visage. Au moins vingt minutes qu'elle était dessus, à tenter de faire un trou assez gros pour en sortir le contenu, tantôt avec un couteau de cuisine, tantôt avec un tournevis. Il soupira finalement en se levant du sofa dans lequel il était installé et se dirigea vers la cuisine. Il capta son regard agacé, mais l'ignora, se dirigeant vers un tiroir au fond de la pièce pour en sortir un ouvre-boîte qu'il posa sur la table, avant de s'asseoir sur une chaise à côté d'elle. « Tu … tu savais que ce truc était là ? » demanda t-elle. Il ne put s'empêcher de se mettre à rire. Il avait vu ce machin en fouinant la maison quelques heures auparavant, lorsqu'ils y avait trouver refuge. « Mh. » se contenta t-il de répondre devant l'idignation qui se peignait sur son visage. « Ca fait des heures que je tente d'ouvrir ce truc ! » Elle exagérait, et il rit de plus belle. « Pauvre petite chose. »


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[color=#ff3300]■■■[/color] JAMIE CAMPBELL BOWER ✗ Aiden Morgan
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MessageSujet: Re: Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé. Aiden ;; La chute t'appelle de même que l'ascension par le passé. EmptyDim 24 Mai - 12:30

Hate de rp avec monsieur jemelapètegrave.  :08:


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