Ma vie fut douce, ma vie fut simple. C'est  ce que l'on aimerait se raconter, ce que l'on aimerait se dire afin d'attenuer les douleurs, les erreurs de la jeunesse et de la famille. Mon histoire est celle d'une fillette qui vivait dans un petit appartement de banlieue. Sa mère n'était pas bien riche, un peu alcoolique sur les bords, un  peu violente aussi. Son père lui, avait disparu alors qu'elle n'était encore qu'un bambin agé de deux ou trois ans. Elle avait donc grandi avec cette mère étrange, qui pensais peu à elle, aimais la boisson, el sexe et la drogue plus que son enfant qui finalement s'élevée plus par elle même qu'autre chose. Mais ça allait malgré tout. Elles avaient un peu d'argent, une pension que le père envoyé de dieu sais ou pour les aider et cela suffisait pour manger un peu pour payer le loyer. C'était très dur, mais par les jours d'école, à courir avec ses amies, la fillette oubliée tous les soucis et riais comme une enfant normale, car après tout, n'étais ce pas ce qu'elle était, une enfant normale ?

Les années passèrent aussi rapidement que le vol des oiseaux vers le soleil et ses neuf ans vinrent frapper à la porte. Elle était toujours une gentille petite fille au long cheveux d'un air noir corbeaux, de beaux yeux bleu, agréable avec tous, serviable, puis tout cela changea. Sa mère avait besoin d'argent pour sa dose, pour sa bouteille pour...allez savoir au final. Ce fut ainsi par une soirée d'Avril, qu'elle emmena sa fille dans un des quartiers peu recommandable de la ville, la fillette demanda encore et toujours pourquoi elle l'emmenait ici, ce qu'elles faisaient là et tout ce qu'elle lui répondit pour la calmer était que son père l'attendait dans un des appartement du quartier. Malheureusement pour elle, c'était tout sauf son père. A la place de cela, la jeune fille eu le malheur de rencontrer trois homme d'une trentaine d'année qui après avoir donné une énorme enveloppe à sa mère la fire sortir pour rester seule avec la fillette. Aucun besoin de vous expliquer les cris et les pleurs, les hurlement sans fin alors qu'on lui arracher ses vêtements, qu'on la violée à répétition chacun de ses hommes la profanant, une, deux trois fois jusqu'a ce que le petit matin pointe son nez, laissant au sol une fillette au visage bouffi de larme, au corps brisé, couvert de la souillure de ces hommes qui avaient laisser leur pire vices s'exprimer durant cette nuit.

La fillette ne fut plus jamais la même. Elle était devenue craintive, effrayée, ne faisait plus confiance aux adultes et encore moins à sa mère qu'elle detestait plus que n'importe qui en ce monde, son père qui l'avais abandonné ici, ces hommes qui lui avaient fait ces horreurs. Perturbée, traumatisée, la fillette trouva refuge en classe, travaillant plus qu'avant, mais son mal être se senti tres vite et alors qu'elle se laissait aller à conter son malheur à son professeur de musique, pleurant à chaude larme dans la classe, celui ci la traita de petite pute, ferma la porte à clé et la viola à son tour. Pourquoi personne n'est intervenu ? Pourquoi personne ne l'a aidé ? Parce qu'il y avait peu de monde dans les couloirs, parce qu'il lui avait rempli la bouche avec sa culotte l'empechant de hurler à son souhait. il la relacha sa besogne finie, la menaçant de mort si elle parlait. Pourtant, finalement, le sort fut doux avec elle et fit renvoyer le professeur pour des attouchements sur une autre fillette. Aurait elle du parler ? Raconter son sévice ? Surement, mais la honte l'en empéchait. Elle ne voulait pas être une victime, elle voulait oublié ces horreurs, reprendre une vie normale, s'éloigner rapidement de sa mère .

Le temps repris son cours jusqu'à ses onze ans ou une fois de plus sa mère tenta de l'emmener dans un quartier louche de la ville et ou, se defendant au possible elle poussa sa mère qui se cognant contre un meuble à la base du crâne mouru aussi simplement que cela. La suite vous vous en doutez fut particulière, l'enfant retourna l'appartement arracha les vêtements de sa mère et cela fait alla s'installer dans le parc de jeu non loin jusqu'a ce qu'un adulte bien attentionné s'inquiete de sa presence et qu'elle explique ce qu'elle à vu et pourquoi elle était ici attendant que sa mère se reveille et vienne la chercher.

On conclut à un vol qui à mal tourner, on placa l'enfant chez de la famille éloignée et on pria pour que tout aille bien pour elle. Mais tout n'alla pas bien. Son cousin était un monstre, son jeu préféré était de l'embeter, de la blesser et on ne compte plus les bleus, hematomes, griffures, brulures qu'elle subit. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid et quand il s'isola sur le toit pour fumer en cachette...il glissa et fit une terrible chute qui le  laissa paralyser du cou aux orteils. On accusa la fillette qui s'en défendit par des pleurs et des cris et son oncle la cru, prenant sa défense face à sa femme. L'adolescence vint, les formes de femmes avec et devant sa beauté et sa jeunesse son oncle comme tout porc de ce monde ne sut se tenir et la viola car elle le voulait, car il allait la proteger , car il lui montrait ainsi son amour. Mensonges encore et toujours qui la conduisirent à devenir ce qu'elle est. Froide, manipulatrice, mauvaise. Elle se laissa faire, simulant meme le plaisir jusqu'à persuader son oncle qu'ils seraient mieux ensemble mais que sa tante était un frein. Il la tua et elle l'envoya croupir en prison. On avait beau dire que c'était elle, avec ses larmes, son visage doux et son grand jeu d'actrice, personne ne le cru. Vint ensuite les hommes en tout genre. Les riches et les moins riches, qui lui donnait de l'argent, des bijoux, des voitures et ce genre de chose. Chacun était un pion sur son échéquier ou elle était la reine incontestée.

Elle était maintenant majeur, magnifique, avait ce qu'elle voulait en ecartant un peu les cuisses, mais sa soif de vengeance, de sang ne fit qu'amplifier. Résultat certain des sévices qu'elle à subit la jeune fille à développer un gout pour le meurtre et la mort et devint une personne assez...connu. Vous souvenez vous avant que le monde ne parte en vrille de ces émissions sur les tueurs en série jamais retrouvé ? Vous souvenez de cette meurtrière qui qui ouvrait ses victimes en deux pour y insérer la tête de l'ancienne victime dans l'intestin ? Tête qui, si on ouvrait la cavité bucale avait ses parties génitale enfoncée jusqu'a là gorge ? Mais oui c'est bien elle. Oh bien sur ce n'était pas facile, il fallait trouver le bon pigeon, celui qui se laisserait avoir dans la toile de cette mante religieuse humaine. Elle les attrapée généralement en se faisant passer pour une call girl de luxe, en s'invitant à des réceptions uppée ou elle n'avait rien à faire, en se faisant passer pour une pauvre fille perdue. Ca ne manquait jamais, ils voulaient tous la baiser, la faire leur et tous en payaient le prix de leur vie.

Bien sur elle fut rechercher, poursuivit, on faillit la coincer une fois, mais elle changeait si souvent de tête, passant du blond au roux, en passant par le brun, les lentilles de contact étaient ses amies, tout comme le maquillage. Puis, le monde tourna en ce qu'il à toujours été, un cauchemar. Sauf que cette fois, chacun pouvait le voir. Les morts se réveillaient et cherchaient à bouffer les vivants. Comment elle l'a appris ? A ses dépend! Un de ses...clients s'est reveillé le bide ouvert, les entrailles dégoulinantes pour tenter de la mordre. Autant vous dire qu'elle à poussé un sacré cri, eu une putain de panique et...fini par réussir à le butter en lui enfonçant son couteau dans la tête jusqu'a en faire de la purée. De cet instant, elle compris qu'il allait falloir la jouer fine pour survivre et après avoir preparer de quoi survivre en un sac, récupérer son arme à feu et son couteau de boucher puis reprendre ses habitudes. Elle fut recueilli dans un groupe de policier. Elle les laissa absolument tous lui  passer dessus, le sexe à un pouvoir incroyable dans les temps difficle et lorsqu'ils ne lui étaient plus utile, elle les tuaient, les un après les autres. Bien sur elle attendait que le groupe soit réduit pour faire cela. Ainsi, elle gardée les vivres pour elle seule et une fois épuisée, elle partée sur les routes à la recherche d'autres groupes. Elle du en faire cinq ou six. Aucun ne survécu jusqu'à ce groupe si particulier qui en plus de la baiser lui proposa de bouffer un mec. Peu rassurée sur le début, peu partante aussi, elle s'y força pour s'integrer et finalement, l'humain avait le gout du poulet, ou du porc selon la cuisson. Elle mangea meme un morceau qui était aussi tendre et doux que du poisson. on lui dit par la suite que c'était un gamin dont ils avaient abrégé les souffrance et elle en sourit.

Une cannibale était née et ne s'arrétée plus. Il n'y avait plus de conserve ? pas grave, un survivant par ci, un survivant par là et c'était bon! Elle n'avait rien à craindre elle, elle le savait puisqu'elle était la pute du groupe et personne ne veux baiser une fille à qui il manque une main, un bras ou un bout de jambe. Finalement, ce groupe subit l'attaque des morts et comme toujours, elle fuis, les laissant à leur merde, les laissant se faire bouffer à leur tour. La route fut longue, solitaire. La nourriture se fit rare et finalement, elle trouva un refuge dans une sorte de plantation ou une sorte de gourou dirigé le tout. Il lui était inaccessible, mais...ça ne durerai pas bien longtemps.

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