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Ruby▬ Call me Senator...or die!

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My name is
Invité
and i'm trying to survive

Ruby▬ Call me Senator...or die! Empty
MessageSujet: Ruby▬ Call me Senator...or die! Ruby▬ Call me Senator...or die! EmptySam 23 Mai - 18:58


“ Ruby Hine ”
Be prepared...for my reign!



“ Identité ! ”
Je m'appelle Ruby Hine, je suis né(e) le 05 Mai à Norfolk et j'ai donc 28 ans. Je possède 2 arme(s) et elle(s) est(sont) la(les) suivante(s) : une Couteau cranté et un Desert Eagle 50!

Actuellement célibataire, j'ai toujours été hétérosexuelle. Ma santé est plutôt excellente et j'ai la mauvaise habitude de tapoter des doigts sur un meuble ou mes bras lorsque je suis agaçée

Avant que les morts ne se relèvent j'étais Sénatrice d'Etat, je vivais  à Richemond et je me sentais complètement surpuissante. Aujourd'hui je survie grâce à la L'Hôpital et mon groupe serait plutôt celui des Exitosius. Quand je croise un rôdeur, je me sent complètement amusée par son aspect grotesque et son incapacité à rester en vie.

Tout le monde me dit que je ressemble à Meghan Ory.

Dans la réalité mon petit nom c'est Carrieboue / Léo, j'ai 26 ans et j'ai connu le forum grâce à facebook. Je pense être présent(e) 6/7 et enfin je pense que le forum déchire grave
“ Caractère ! ”
Le caractère de Ruby en serait presque stéréotypé tant on peut voir en elle la femme ambitieuse qui a mal tournée suite aux événements. Est elle méchante ? Non pas vraiment. Cruelle ? Seulement si la fin en justifie les moyens, quel mal y a t il à tué une personne si cela peut en sauver une dizaine d'autre ? Et puis c'est un peu la loi du plus fort aujourd'hui et qui est la plus forte ? Ruby !
Femme ambitieuse, autoritaire, mais surtout charismatique, elle est intelligente et logique. N'ayant pas peur d'employer des moyens qui pourraient mettre à mal bien des personnes, elle pense certes à elle en premier lieu, mais plus que tout à la communauté ou plutôt, à son moyen de garder le contrôle de la communauté et être au sommet de la hiérarchie.
Frustrée par cette apocalypse qui a mis à mal tout son plan de carrière, ses projets et ses envies, elle souffre d'une petite...psychose, puisqu'elle voit en elle la femme qui relèvera la nation, qui en créera une pour être plus précis. Elle se vois comme la nouvelle Abraham Lincoln, fédérant des groupes et des groupes de survivants, reprenant les Etats-Unis aux morts et glorifiant leur sauveuse en allant faire construire une statue géante d'elle qui pourra remplacer la statue de la liberté, car oui, elle est la liberté ! Comment ? Égocentrisme?complexe de supériorité ? Manipulatrice?Mégalomane ? Tout à fait, mais vous, vous avez prévu quoi pour ce pays si ce n'est survivre tant bien que mal et pillé ses ressources ?

“ Histoire ! ”
Je suis née le 05 Mai 1985, dans la ville de Norfolf en Virginie, où mon père avait sa propre entreprise de pêche. Ce bon vieux Isaiah est mort à quarante trois ans d'une crise cardiaque. Autant vous dire que je ne l'ai pas vraiment pleuré, lui et moi n 'avions rien en commun, ni même une relation privilégié, comment cela serait il possible avec un père qui passe sa vie en mer ? Alors non je n'ai eu ni regret, ni remord, lorsqu'il est mort. Après tout, qu'attendait on de moi ? Des pleurs et des cris pour un homme qui fuyait ses responsabilités, qui noyait son malheur dans la bouteille ? Non il est bien mieux ou il est !

Ainsi élevé dans des conditions que je trouve misérable et pauvre, ma mère enchainant les services dans un petit restaurant pour nous permettre de survivre, j'ai fait ce que je pouvais pour aider, pour grandir et mon enfance n'est au final qu'un lointain souvenir car il me fallait être adulte très tôt. Cherchant à soulager ma mère, à l'aider, je m'inscrit dans un collègue militaire quand l'âge m'en fut autorisé. Certes cela faisait un engagement à long terme, m'obligeant à accepter qu'un jour, je pourrais être appelé sur le champs de bataille comme réserviste, mais peu m'importait, mes études étaient prises en charges par l’État, ma mère ne payait qu'une modique somme pour moi et cela me convenait. J'appris ainsi la dur loi de la vie, le travail, la rigueur, l'endurance et la persévérance. Autant de qualité qui m'ont forgé l’âme et l'esprit, qui m'ont aidé à devenir celle que je suis, mais plus encore notre président lorsque j'entrais au collègue, Bill Clinton et sa politique exécrables, ses scandales, sa débilité faisait honte à notre pays et je me jurais qu'un jour, je le redresserais, je serais celle qui donnerait à notre nation ses lettres d'or. Faisant ainsi ma scolarité en cet établissement, je n'en sortais qu'une fois mon diplôme du secondaire en main et encore, il fut bien complexe pour moi de l'avoir puisque les soucis n'ont cessés de me pourchasser sur ma dernière année scolaire. Premièrement, le fait que je me sois engagée en politique. Non, je ne me suis présentée pour aucun poste, mais je travaillais dans un bureau de campagne, faisait les photocopies, rangeaient des papiers,supportait notre candidat au Sénat. Ainsi, malgré mon implication politique, la baisse de mes notes, je parvenais à me faire accepter à la prestigieuse université d'Harvard avec une bourse bien entendu, mais ce fut un immense honneur pour la fille d'une serveuse que d'aller en ce lieu de connaissance. Ma mère en a pleurer des heures durant tant la fierté emplissait son cœur. Je sortis quatre années plus tard de l'université, fièrement diplômée en droit, placée dans les dix premiers de ma promotion. Certes j'aurai préférée être Major, mais qu'importe, ce qui est fait est fait.

Sortant de l'université, pleine de rêve, d'espoir et de réussite, je me présentée pour les métiers de la fonction publique, mettant en avant mon jeune age, ma formation militaire et mon diplôme en droit comme des atouts pour aider au mieux autrui. Je parlais de la pauvreté de mon enfance, de la misère que j'avais connu et que je tenterai d’abolir, améliorant la vie de tous et chacun. Allez savoir comment ou pourquoi, cela se passa incroyablement bien et je fut en cette année de mes vingt cinq ans, plus jeune élue législateur au sénat d’État de Virginie. Ce fut dans cette carrière commençant sur les chapeaux de roue, marquant ma réussite à tout niveau que j'officialisais ma relation avec Andrew, un jeune homme rencontré sur les banc de l'université et qui avait réussi à me faire tourner la tête par son amour du pays et son ambition. Diplômé de Droit tout comme moi, il devins rapidement un des meilleurs représentants du barreau de notre État et j'acceptais sa demande en mariage quelques mois après ma nomination.

Malheureusement la vie n'avait pas prévu pour moi une vie de politique, une vie merveilleuse faite de débats, de lois, de prise de pouvoir et finalement, d'accession à la maison blanche et aux pouvoirs du commandant des armées et de l’État. Cela à commencé par des rumeurs. Je les entendaient de loin à la radio, à la télévision, alors qu'on parlais d'émeute, de personnes malades, dérangeaient. Je me disais que le monde devenait fou, qu'il était temps qu'une personne prenne les choses en main et resserre une bonne fois pour toute la visse à ces ingrats, ces drogués, ces fous qui ne savent pas quoi faire de leur dix doigts. Puis la chose s'est amplifié. On commença à parler d'épidémie, de maladie qui rendait fou, enragé. On tenta de soigner quelques blessé mais leur rage, leur hargne était impressionnante et ils blessés le personnel médical, soignant, qui ne tardais pas à devenir aussi enragé qu'eux. Des petits villes et bourgade, ce fléau parvint aux grandes villes et notamment à Richemond, capitale de l’État de Virginie ou je vivais avec mon futur époux. Face à la population nombreuse de la ville, les accès de panique, de violence, d’émeute, sans parler de ces personnes qui enfermés leur parents malade dans leur chambre ou toute autre pièce, persuadé que cela leur passerait, qu'ils reviendraient à eux ou tout simplement qu'un remède serait trouvé, la ville sombra dans le chaos bien plus vite que nous n'aurions pu le penser.
L’État passa en alerte, l'armée fut déployée de partout et réserviste que j'étais, je ne fit pas mieux que d'autres. Certes j'étais sénatrice, mais cela n’empêchait rien à mon devoir et à mon honneur. Muni d'un Desert Eagle et d'un couteau cranté de l'armée, je tentais de rassuré nos concitoyens, de les mener dans les lieux sur, des refuges, je participais aux combats armés contre les victimes de cette rage nécrotique, tuant les morts revenu de leur tombe, car oui, nous le savions, nous l'avions accepté. Les morts revenaient sur terre pour dévorer les vivants. Si j'avais été un tant soit peu bigote, j'aurai cru à une punition divine, mais je prenais plutôt cela pour une plaie sur ce monde, séparant le bon grain de l'ivraie, un peu comme le déluge, mais plutôt que d'envoyer des trombes d'eau, on nous envoyais nos morts.
Pourtant, bien vite la situation perdit tout sens et toute commune mesure. Des personnes blessés avaient infiltrés nos rangs et se changeant en prédateurs, décimèrent petit à petit tout survivant des camps de réfugies. Tous ? Non bien sur, quelques un parvinrent à fuir à temps, certains furent aussitôt dévoraient vif par les morts alentours, d'autres comme moi, parvinrent à voler une jeep de l'armée et à faire leur chemin jusqu'à l’extérieur de la ville, laissant loin derrière ces morts et ces combats, s'éloignant juste assez vite pour observer les derniers vestiges de l'armée, de l'Etat lâché des bombes de napalm sur les grandes villes, tentant d'endigué l'infection en brûlant les lieux de plus grand rassemblement. Fuyant sur les routes avec le petit groupe de survivants qui étaient parvenu à rejoindre la jeep, je devenais rapidement leader de notre petit groupe, femme autoritaire et charismatique, j'avais par ma position politique et mes connaissances militaire tout de la femme à qui l'ont pouvait offrir sa confiance et pourtant, cela n'était pas la meilleure des idées. Traumatisée par cette recrudescence de violence, par la mort et le carnage, je devins plus qu'une sénatrice, une dictatrice. Je voulais survivre, je voulais reformer un état, une nation, vaincre les morts et me poser en héroïne de la nation. La première chose que j'eus à faire pour cela fut de malencontreusement faire tomber mon fiancé lors d'une mission de ravitaillement. Nous étions poursuivi par un groupe de morts assez important, tout deux épuisés par cette course, par le temps, la faim, la crainte et je savais que nous ne nous en sortirions pas tous els deux. Alors je n'ai pas cherché plus loin. Entre lui ou moi, le choix serait toujours moi. Je lui tirai une balle dans le genou et m’enfuyais avec mon sac de vivre alors que j'entendais ses cris derrière moi tandis qu'on lui arrachait la chair des os. Il me maudit, me jura de revenir pour me dévorer vive. Il pourrait toujours tenter.
De cet instant, les choses se passèrent relativement bien. Certes, je perdit quelques ouailles, mais en gagnait d'autres. Mon sourire et ma gentillesse attirée les pauvres âmes en perditions, mais ma sévérité, mon contrôle en effrayait d'autres. Oui j'ai tué quelques personnes remettant en cause mon autorité, voulant prendre ma place ou partir alors que nous avions besoin d'eux. Bien sur, c'était toujours une maladresse, une perte tragique, une erreur, une disparition. J'en versais ma larme, parlant de ces personnes comme de regrettés amis, d'irremplaçables membres de notre communauté, mais la vérité était qu'ils était la montagne de corps que je devais gravir pour atteindre le sommet. Le sacrifice était noble, ils le faisaient pour aider la nation à se relever, à reprendre forme sous ma coupe.
Cinq années passèrent ainsi comme un rêve. Quand on se bat pour survivre, le temps paraît toujours plus court. Nous avons beaucoup bougé, cherchant un lieu ou nous installer, mais aucun ne nous convenait réellement, il nous faudrait poursuivre les recherches jusqu'à trouver le lieu idéal de vie, le lieu que nous pourrions réhabilité pour en faire notre nouvel Éden, notre nouvel James-town, la  première ville colonisée des États Unis pour ce cher Jacques II d'Angleterre. S'était il relevé depuis les décombres de sa crypte pour aller dévorer les enfants de ses sujets anglais. Qui sais ? Le plus important pour moi était ma personne, ma réussite et je ne laisserai personne me prendre cela  dans ce nouveau monde que je bâtis de mes propres mains !



Code:
[color=#ff3300]■■■[/color] MEGHAN ORY ✗ Ruby Hine
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