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You could call it chemistry feat Jacob

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Philaé Anderson
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MessageSujet: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyVen 10 Avr - 9:37

You could call it chemistry
Jacob & Philaé
Le beau temps était revenu depuis plusieurs jours déjà, nous avions trouvé refuge dans une ferme qui si nous lui laissions le temps pouvait nous apporter selon moi énormément de choses, du moins je l'espérais. Je m'étais en partit éloigner des autres, enfin surtout de Jeremiah et Lilas, je ne leur en voulais plus, du moins pas à elle et lui je tentais d'y penser le moins possible. Je ne lui avait pas adressé la parole depuis ce jour là, j'évitais consciencieusement être seule avec lui et même si je savais qu'à un moment, il faudrait percer l'abcès si nous voulions continuer à voyager ensemble, je n'étais pas prête à l'entendre. De plus alors que je m'habituais doucement à la présence de Garrett, voilà qu'il avait ramener à la maison un autre duo, un homme que je n'avais pas approcher et une jeune fille muette qui s'avérait être sa sœur. Comme depuis toujours, le sommeil me fuyait, j'avais dormit quelques heures puis j'avais regarder Skye dormir, mais bientôt alors que les premiers rayons du soleil se montrait, j'avais ressentit le besoin de m'activer, de ne pas rester immobile dans la pénombre à broyer du noir. Mes parents m'avait habituer mon frère et moi à bouger, à ne jamais rester à rien faire et c'est la raison pour laquelle, je traversais la maisonnée endormis et sortit prendre l'air.

Je me dirigeais vers la grange, mais il n'y avait rien d’intéressant, alors je décidais d'aller faire un tour vers le potager, j'espérais que quelques fruits et légumes aient survécut à l'ouragan et la pluie, je pourrais ainsi faire un ragout de légume pour le déjeuner, ce qui ne ferait de mal à personne, nous avions besoin de nourriture fraiche. Pendant une heure je fouillais le sol et dans le fond j'eus beaucoup de chance, les carottes enfoncées dans le sol n'avaient pas subit de dégât et pas bonheur malgré la quantité d'eau de ces derniers jours n'avaient pas moisies. Je trouvais également deux gros choux qui avait survécut, quelques oignons et deux bottes de radis. Se n'était pas énorme, mais nous avions là de quoi faire quelques repas. Le second problème auquel il faudrait penser était l'eau, nous allions commencer à en manquer et ici il n'y avait pas l'eau courante, juste l'eau du puits, ce qui voulait dire puiser l'eau puis la faire bouillir pour la rendre potable. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais dehors, ni de combien de temps je disposais au calme avant que les autres ne se réveillent et ne viennent me voir, mais je profitais au maximum de ce temps juste pour moi. Me rendant près du puits, je vis que je n'étais pas la seule à avoir eut cette idée, du matériel était déjà là, des récipients, de quoi faire un feu et une bassine permettant de faire bouillir le tout. Je me lançais alors, allumant le feu, je pris la corde qui pendait hors du puits pour remonter le seau, je fus surprise par le poids que cela représentait, je n'avais pas imagé cela si lourds, ou alors mon état physique n'était vraiment pas très bon. Je remontais plusieurs seaux que je jetais ensuite dans la marmite, je tentais d'en remonter un dernier, mais je sentais mes muscles qui tremblaient sous l'effort, totalement concentrée à ma tâche je n'entendis pas tout de suite que j'avais de la visite. C'est le craquement d'une branche qui me fit sursauté, je déserrais ma prise sur la corde et en s'échappant, je sentis la brulure sur mes paumes. Aïe Je me retournais alors pour faire face à Jacob, ma respiration se bloqua dans ma gorge, je reculais d'un pas et butais contre le bord du puits. J'avais beau me dire qu'il n'était pas méchant, il avait prit soin de Lux et ne me voulait surement aucun mal, la peur me prit au ventre tout de même. Je serrais mes mains contre mon torse autant pour me protéger que pour assourdir la douleur cuisante dans mes paumes. Je réussis finalement à respirer de nouveau et à parler d'une petite voix. Salut !
AVENGEDINCHAINS


Dernière édition par Philaé Anderson le Sam 11 Avr - 11:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyVen 10 Avr - 18:58



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Philaé & Jacob

Les nuages blancs dans le ciel étaient nombreux, comme des soldats, ils étaient soudés, se serrant mutuellement et voyageant ensemble comme des frères.
Jacob était comme à son habitude debout de première heure, il observait le ciel et le beau temps était au rendez-vous.
Il s'imaginait tout un tas de chose comme il le fait souvent, la solitude l'ayant rendu assez rêveur.
Son arrivée avec Lux ne fut pas de tout repos mais il sentait bel et bien que c'était une bonne chose et qu'ils allaient enfin pouvoir profiter un peu de d'eau fraîche, et de meilleure nourriture; mais tout de même l'état de Lux l'inquiétait, la jeune fille n'avait toujours pas retrouvée la parole et il pensait réellement que le choc qu'elle avait subis en tombant nez à nez avec son frère aurait changé la donne, malheureusement rien ne ce passa...
Aucun son, ni même bout de mot était sortit de la bouche de sa protégée et il en était très anéanti.
En tout cas ce début de journée avait plus ou moins bien commencé mais il fallait se prendre en main, rester assis n'était et ne restera pas dans les habitudes de Jacob, il fallait bien montrer à son nouveau groupe qu'il serait de bonne utilité.
Ainsi, c'est d'un pas décidé que Jacob se dirigea vers le puits, il avait eu l'idée de préparer un feu pour le petit déjeuner des survivants de son groupe, de plus il fallait faire bouillir de l'eau car le jeune homme avait très soif et les autres probablement aussi.
Après l'installation de tout les matériaux, récipients, petit bois pour le feu, et une bassine, Jacob voulut nettoyer son arme, en effet étant seul il était plus logique de nettoyer son arme maintenant plutôt qu'il n'y ai personne pour surveiller le feu.
Il partit donc en direction de son petit campement, il prit son pistolet, enleva le silencieux  et commença à démantibuler l'arme.
Après une dizaine de minutes, son Five-seveN était tout beau, tout propre, il le rangea donc dans l'étui sur sa ceinture et repartit sans attendre en direction du puits.
En arrivant sur le lieu, Jacob fut surprit de voir le feu allumé, et la marmite remplit au trois-quarts, quelqu'un avait été plus rapide que lui, il s'orienta vers le puits pour voir qui était la personne et pour terminer de remplir la marmite si celle-ci avait oubliée.
S'approchant surement du gouffre il vit clairement une silhouette féminine, il ne la connaissait pas mais allait bien devoir commencer à se familiariser avec les autres survivants.
C'était une jeune femme, débrouillarde, puisqu'elle remontait à elle seule un seau d'eau avec la corde, elle fut surprit par l'apparition de Jacob et la corde lui descendit dans les mains, un petit cris de douleur et elle se retourna enfin.
► Salut !
► Salut, je suis désolé de t'avoir surpris, ça va tes mains? Tu veux que j'aille te chercher quelque chose?



Dernière édition par Jacob O'Connor le Lun 13 Avr - 17:37, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptySam 11 Avr - 11:10

You could call it chemistry
Jacob & Philaé
Dire que j'avais été surprise par l'arrivée de Jacob était un euphémisme, il m'avait terrorisé, mais d'un autre côté, il ne me fallait jamais grand chose pour m'effrayer. La paume de mes mains me brulait, la corde avait entamé la chair et laissais deux trainées rougeâtre sur celle-ci et une douleur cuisante pulsait au creux de celle-ci. Il s'excusa de m'avoir effrayer et je levais les yeux un instant vers lui avant de détourner le regard. Un instant je fus tenter de lui dire que tout allait bien, que je devais rentrer et ainsi éviter d'être toute seule avec un homme dont je n'étais sur de rien. Seulement voilà, je n'étais plus tellement cette fille que Jeremiah et Lilas avaient trouvé sur le bord de la route, je pouvais faire face et me prouver que je n'étais pas une petite chose fragile. Je ... je me suis brulée les mains avec les cordes. Je tendis doucement les paumes vers lui, restant tout de même à une distance raisonnable de lui et je lui montrais l'étendu des dégâts. Je sais maintenant pourquoi ils utilisaient des gants avant pour ce genre de travaux. Je me surpris moi-même, voilà que je tentais de plaisanter, je réussis même à sourire, mais je n'arrivais pas à maintenir le contact visuel avec lui très longtemps. Si j'allais mieux, si je faisais plus facilement confiance certaines choses de mon passé était encore profondément ancré en moi et Jeremiah en choisissant Lilas de cette manière, m'avait fait replonger dans certain comportement que je n'avais plus avant. Éviter le regard en faisait partis, mes bourreaux détestaient quand je les fixais et ils avaient passé des mois à m'apprendre à détourner le regard. Aujourd'hui c'était devenu un automatisme envers les étrangers, ne jamais les regarder plus de quelques secondes pour éviter les coups.

Je me mordillais un instant la lèvre, discuter avec Jeremiah m'étais devenu facile, je commençais à m'habituer à la présence de Garrett et voilà qu'un nouveau arrivait, j'en venais presque à regretter mes mois d'errance seule où je n'avais pas à gérer cette peur constante de retomber sur des hommes ne voulant que faire du mal aux femmes pour leur petit plaisir personnel. Je soupirais alors profondément, je devais me rappeler Lux, la jeune adolescente avait été protéger par cet homme qui se tenait en face de moi et qui semblait réellement s'inquiéter que j'ai mal, il était même près à aller chercher de quoi me soigner si j'avais besoin. Je tentais de lui sourire, mais sans le regarder, je devais juste ressembler à une idiote. Je pense que de l'eau froide devrait suffire. Tu peux remonter un seau ? Tout en parlant, je me reculais, je lui laissais le passage et m'assurais de laisser une bonne distance entre nous. Je respirais profondément alors qu'il s'avançait et je cherchais de quoi nous pourrions parler. Je continuais à me mordiller la lèvre inférieur signe chez moi que j'étais nerveuse puis finalement je décidais qu'il serait plus facile de discuter du feu qu'il devait avoir installé lui-même ce matin pendant que je ramassais les légumes dans le potager. C'est toi qui a installé tout ça ?
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptySam 11 Avr - 18:10



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Philaé & Jacob

Jacob a le don de surprendre les personnes qu’il croisent, il faut dire qu’il se déplace assez vite et plutôt discrètement, cette fois-ci en fut encore la preuve, la jolie jeune femme devant lui avait été surprise et s’était fait mal aux mains.
Jacob après s’être excusé observa un instant le visage de cette demoiselle, elle avait un visage svelte et une peau très pure, ses longs cheveux reflétaient divinement bien l’éclat de lumière du soleil, et du matin.
Ses yeux étaient comme une flamme de feu, intenses et flamboyants, et une silhouette longiligne suivait le reste de son corps.
Oui, Jacob se trouvait face à une très jolie jeune femme, et cela l’intimidait un peu, il faut avouer que Lux fut sa seule compagnie pendant plusieurs années consécutives et qu’il s’était habitué presque fraternellement à tout ça.
Autrement dit, cela faisait un petit bout de temps que Jacob n’avait pas conversé avec une femme de son âge, et il était presque comme un grand adolescent devant elle, d’ailleurs il remarqua clairement qu’il n’était pas le seul à être géné.
Après quelques secondes, elle reprit:
► Je ... je me suis brulée les mains avec les cordes.
► Euh... Oui je sais j’ai vus ça, je suis vraiment désolé...
Jacob savait que la jeune femme c’était fait mal et il culpabilisait un peu, il n’eu pas le temps de lui demander de lui montrer ses brûlures que la jeune femme tendit ses mains suffisamment proche pour qu’il aperçoive deux traces rouges qui avaient irrités et qui avaient ouvert la chair de ses paumes.
Jacob fit une grimace, sa rencontre commençait bien.
► Je sais maintenant pourquoi ils utilisaient des gants avant pour ce genre de travaux.
La jeune femme se permettait même de faire de l’humour? L’ambiance devena plus détendu, Jacob reprit:
► Il faut dire aussi que même sans gants, il n’y avait pas un idiot pour les surprendrent.
Il lâcha un sourire tumultueux et tenta de la regarder, elle fit de même, puis détourna le regard, était-elle intimidée?
Jacob ne savait pas, mais penchait largement pour cette option puisque lui même l'était un peu... Beaucoup...
Tout en continuant de la regarder il remarqua qu'elle se mordait la lèvre, et pour on ne sait aucune raison, Jacob pensa à sa mère qui faisait de même lorsqu'elle était stressée.
Son sourire s'apaisa, et son visage se crispa un peu sur le coup...
L'image qu'il avait en tête de sa mère le rendait fou, ses parents lui manquaient puis il oublia petit à petit ce qu'il avait repensé car elle l'interpella.
► Je pense que de l'eau froide devrait suffire. Tu peux remonter un seau ?
Jacob se dirigea vers le puits et commença à tirer la corde qui avait replongé le seau lorsque la jeune femme l'avait lâchée.
Tout en ramenant le lien vers lui, elle lui demanda:
► C'est toi qui a installé tout ça ?
Il tourna le buste, et inclina sa tête en direction de celle-ci pendant qu'il ramenait toujours le seau.
► Oui c'est moi, je me suis réveillé tôt ce matin et j'ai voulus  faire de l'avance aux autres... Mais excuse-moi de changer de sujet mais je ne t'ai même pas demandé ton prénom, tu t'appelles comment?
Jacob tire enfin vers lui le seau remplit d'eau, il n'a mit que très peu de temps à le remonter et déjà il s'approche d'elle.


Dernière édition par Jacob O'Connor le Lun 13 Avr - 17:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptySam 11 Avr - 23:22

You could call it chemistry
Jacob & Philaé
Il s'excusa de nouveau et je ne pus m'empêcher de sourire, je trouvais cela mignon, en plus il semblait vraiment sincère. Le faite qu'il m'ait fait mal me donnait l'impression qu'il s'inquiétait réellement et un instant je sentis mon cœur se serrer, comment aurait été ma survie si j'avais rencontré un homme comme Jeremiah, Garrett ou bien Jacob. Quel genre de femme serais-je maintenant s'était bien sur une question inutile, juste bonne à me donner mal au crâne pourtant, j'étais curieuse et je passais de longues heures là nuit alors que le sommeil me fuyait à répondre à cette question. Je m'égarais pourtant, à cet instant j'étais moi, Philaé, femme traumatisée qui était seul avec un homme et je devais parler rapidement, sans quoi il me prendrais pour une idiote. Arrête de t'excuser, se n'est pas très grave. Bon ça faisais un mal de chien, mais ça je ne le dirais pas, je ne voulais pas qu'il se sente coupable pour si peu, si j'avais pris le temps de mettre des gants et surtout si je n'avais pas ces réactions de bête traquée alors rien de tout cela ne serait arrivé. J'avais blagué et lui le fit en retour et si j'avais détourné les yeux préférant contempler le sol en malmenant ma lèvre qui n'avait pas besoin de ça, je ne pus m'empêcher de pouffer avant de reprendre mon sérieux, enfin, avec un grand sourire éclatant. S'était facile de discuter avec lui, certes, il restait à bonne distance, mais je n'avais pas à me forcer à être enjoué ou heureuse, j'étais naturelle. Je ne pense pas que tu sois idiot. Et me voilà piquant un fard monumental, pourtant, se n'était pas le compliment du siècle pourtant, je ne pus m'en empêcher, mais heureusement, il semblait perdu dans ces pensées et je changeais rapidement de sujet, je voulais plonger mes mains cuisantes dans l'eau fraiche, après je pourrais voir si j'avais besoin de plus de soin. Il s'approcha du puits pour s'exécuter sans un mot alors que moi je m'éloignait lentement, j'espérais qu'il ne se vexerait pas, je savais qu'il se poserait des questions, qu'il voudrait expliquer mon comportement, pourtant, je n'étais pas pressée de donner des réponses, son regard serait différent ensuite, j'y verrais de la pitié, peut être même du dégout et s'était souvent ce qui faisait le plus mal dans ces histoires, le regard des autres. Ne voulant pas penser à tout cela, je dirigeais de nouveau la conversation sur un sujet neutre et il me répondit vaguement, avant de m'interroger sur mon prénom. En effet, lors de son arrivée, j'étais restée silencieuse, je m'étais cachée derrière Garrett et j'avais veillé sur Skye. Se n'était pas très sympa, moi je connaissais le sien et lui non. Philaé, Je...

J'eus à peine le temps de souffler mon prénom qu'il prenait le seau dans ces mains et s'approchait de moi à grand pas, je sentis alors la panique monter en moi, je ne le contrôlais pas, je savais dans le fond qu'il ne voulait que m'apporter de quoi soulager et soigner mes mains. Pourtant, le voir ainsi fondre sur moi, si rapidement, si brusquement, me fit imaginer des dizaines de scénario de ce qui pourrait se passer et se n'était jamais très plaisant pour moi. Ne t'approche pas. J'avais brusquement reculer, mettant mes mains en avant, pitoyable moyen de défense et je le regardais d'un air affolé. S'il te plait n'avance plus. Et bien bravo, j'étais au bord des larmes maintenant, j'étais ridicule, je le savais, il allait me prendre pour une folle furieuse et il ne voudrait plus passer du temps avec moi. Contre toute attente cette idée me déplaisait tout autant que de le voir s'approcher ainsi de moi. Je respirais doucement, profondément, essayant de calmer les battements de mon cœur qui s'était soudainement affolé. Pose le seau au sol et ... recule. Je le regardais fixement dans les yeux, essayant dans mon regard de m'excuser de mon comportement. Il finit par faire ce que je lui demandais et je me doutais qu'il devait avoir des centaines de question, pourtant, c'est en silence qu'il recula. Si au début de notre rencontre j'avais éviter son regard, là je ne pouvais plus le détourner, je poussais un petit soupir puis lentement je rejoins le seau, je m'agenouillais devant avant de plonger mes deux mains dedans, la douleur disparue, mais l'eau montrait aussi que j'allais devoir panser les plaies, par endroit la chaire était à vif. Je fermais un instant les yeux, il allait devoir m'approcher pour m'aider. Il va falloir bander mes mains. Je ne pourrais pas le faire toute seule.
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyDim 12 Avr - 14:35



You could call it chemistry.
Philaé & Jacob

Une bise fraîche passa dans le dos de Jacob, il fit un petit mouvement d'épaule par réflexe du frisson qu'il venait d'avoir mais continuait toujours à tirer le seau du puits.
Il répondu donc à la question que lui avait posé la jeune femme, et lui demanda son prénom, entre temps il ramena le seau contre lui et fut enfin près à lui emmener.
Il marcha donc le récipient entre ses mains en direction de celle-ci.
La jeune femme répondu qu'elle s’appelait Philaé et soudain elle s'arrêta net, le seul pronom « Je » fut perceptible, et puis plus rien...
Jacob continuait d'avancer et releva la tête en sa direction pour comprendre pourquoi elle s'était arrêtée dans ses paroles, le visage de la jeune femme se contracta comme si un danger était imminent, elle se releva brusquement et interdit Jacob de l'approcher.
Désormais elle reculait et mettait ses mains en avant comme pour empêcher celui-ci d'avancer.
Jacob le seau remplit dans les mains était immobile et ne comprenait absolument pas ce qu'il se passait, avait-elle vu un rôdeur?
Sur l'instant le militaire tourna la tête de chaque coté pour comprendre d'où venait ce fameux danger, mais il n'y avait aucun signe de rôdeur, personne aux alentours.
Jacob releva le buste et interrogea du regard Philaé, c'était peut-être une intruse? Sans doute qu'elle était avec un autre groupe de survivant, et qu'elle donnait le signal aux autres membres pour lancer une attaque de pillage?
Le jeune homme était aux aguets et regardait les moindres gestes de Philaé.
Il voulut faire un dernier pas mais elle l'en empêcha en lui demandant presque avec respect de ne pas le faire.
Sans la moindre hésitation, il obéit.
Mais en regardant de plus près et en étant concentré sur sa manière d'être, Jacob éloigna rapidement de sa tête la probabilité qu'elle était une intruse car elle était prise d'une panique presque vitale, et que son visage au bord des larmes suppliait le jeune homme autant que ses mots.
► J'ai fais quelque chose qu'il ne fallait pas Philaé?...
Jacob était là, le regard inquiet, debout et immobile avec toujours son récipient dans les mains et essayait de comprendre le problème, néanmoins il ne put avoir une réponse car la jeune femme ne l'entendu même pas et reprenant ses esprits, elle lui donna l’ordre de poser le seau au sol et de reculer.
Ce qu'il fit presque instantanément, il baissa lentement mais surement son dos pour venir poser délicatement l'objet en question et recula trois grands pas en arrière, il ne voyait pas l’intérêt de lui désobéir, cette femme n'avait pas réagit comme cela par hasard et il en était maintenant persuadé.
Son regard ne le lâchait pas, mais c'est posément qu'elle s'approcha enfin du seau et plongea ses mains à l'intérieur, la douleur maintenant apaisée, lui ferma lentement ses paupières.
Jacob regardait la scène et ne savait pas ou poser le pied.
Mais elle reprit avec une voix presque normale, qu’il faudrait lui bander les mains et que toute seule elle ne pourrait pas le faire étant donné que la blessure concernait ses deux poignées.
► Ne t’inquiète pas je suis là, et je compte bien réparer ma connerie...
Jacob avança doucement vers Philaé, il ne voulait pas l’effrayer à nouveau, et puis d’abord c’est de sa faute si elle s’était brûlée les mains.
Il enleva sa chemise qu’il portait et se mit accroupit devant elle, le seau étant entre eux deux.
Il la posa au sol, et commença à enlever de nouveau son tee-shirt blanc, il était dès à présent torse nu, et il força sur son tee-shirt de manière à en tiré des morceaux.
Le craquement du textile retentit, et une fois qu’il récupéra une grande bande de celui-ci, il renfila sa chemise en se mettant debout.
► Je suis désolé c’est tout ce que j’ai sur moi, ça fera l’affaire en attendant de vrais bandages?
Il lâcha un sourire, se remit accroupit et en regardant Philaé, il reprit:
► Si tu veux bien me donner tes bras?
Il se prépara à réceptionner les avants-bras en tendant ses mains et toujours en souriant.


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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyDim 12 Avr - 17:47

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Jacob & Philaé
J'avais paniqué, je n'en étais pas fière, pourtant, malgré tout il pensa que s'était de sa faute, qu'il avait fait quelque chose de mal, alors que non, il s'était juste approché trop vite, je ne m'étais pas préparé à une proximité entre nous, même de l'ordre de quelques pas et c'est mon instinct qui avait parler, je m'en sentait honteuse, je dois bien l'avouer, il attendait une explication à mon comportement, pourtant, je ne pouvais pas lui donner, pas encore, pas dans cet état là, s'était impossible. Déjà qu'il devait me trouver bizarre, alors rajouter mon histoire par dessus, il ne voudrait jamais m'approcher de nouveau. C'est la raison pour laquelle je préférais ignorer sa question pour le moment, je lui ordonnais de reculer, il le fit sans poser d'autre question, il posa le seau, fit trois pas en arrière et ne me quitta alors plus du regard, moi-même je ne cessais de le regarder, mon cœur s'apaisa doucement et je me rendis compte que même avec Garrett je n'avais pas eut ce genre de réaction, je ne comprenais pas pourquoi, je pensais avoir fait un gros travail sur moi-même grâce à Jeremiah, que j'arrivais à contrôler mes peurs, mais voici la preuve que non, pas encore totalement. Plongée les mains dans l'eau fraiche me rendit le contrôle que j'avais sur moi-même, déjà la douleur s'éloignait, j'avais les idées plus clair et mon calme était revenue, je me trouvais toujours stupide de ma réaction, j'étais en colère après moi et il me faudrait du temps pour réussir à comprendre pourquoi j'avais fait ça alors qu'au fond de moi je savais qu'il ne voulait que m'apporter de fichu seau.

Il allait penser que j'avais de sérieux problème n'empêche, car alors que je lui avait interdit de m'approcher, voilà que maintenant je lui demandait de l'aide pour mes mains, ce qui sous-entendait qu'il allait devoir se montrer proche de moi et même me toucher pour cela. L'idée me fit frissonner, mais je réussis à ne pas flancher, il me rassura, il voulait m'aider et assumer ces conneries et je ne pus m'empêcher de sourire. Sourire qui se figea sur mes lèvres alors qu'il commençait à se déshabiller, mon cerveau se déconnecta alors que son t-shirt laissa apparaitre un torse musclé et plaisant à regarder, je déglutis avec difficulté, essayant de comprendre pourquoi il se déshabillait soudain, hésitant entre rester là paralyser à suivre chaque courbe de ces muscles ou bien à fuir en hurlant vers la maison. Je restais là immobile, le fixant de manière bien trop peu discrète et c'est seulement quand je sursautais alors qu'il déchirait son T-shirt que je compris qu'il confectionnait des bandage pour moi, il venait de sacrifier le peu d'habit que nous avions pour me soigner. Il s'en excusa d'ailleurs alors qu'il remettait sa chemise et que je me rendis compte que j'avais les jours brulantes, elle devaient être cramoisi et je me sentis une fois de plus ridicule. Se sera parfait Jacob. Il s'installa alors devant moi, prenant soin de laisser le seau entre nous comme s'il avait compris que la proximité me faisait peur, nous ne nous quittions pas des yeux, en fait, à ce moment là, le savoir si proche de moi ne me gêna pas. J'étais pire qu'une girouette qui change d'avis en quelques secondes. Alors que je l'avais sommer de s'éloigner, à ce moment, j'étais heureuse qu'il soit là près de moi. Je devenais vraiment folle, il ne devait pas y avoir d'autre explication. Pourtant ma nouvelle sérénité vola en éclat quand il demanda à prendre mes mains, il aurait très bien pus les prendre sans demander, mais peut être se doutait-il que ma réaction sera aussi tendu que lorsqu'il s'était approcher de moi, alors il me demanda tout simplement la permission. Je fermais un instant les yeux soufflant doucement. Ok. J'avais murmuré, me donnant ainsi le courage de sortir les mains de ce seau et de les tendre vers lui, de poser mes poignets sur ces mains et de sentir ma respiration se couper et un long frisson me parcourir le dos pour remonter le long de ma nuque alors que nos peaux rentraient en contact.

Je le laissais alors silencieusement s'occuper de mes mains, j'allais être gênée pendant quelques jours, mais bientôt ce serait un mauvais souvenir et je ne lui en voulait pas pour ça. Il prenait grand soin de sécher mes mains et d'observer les deux brulures avant de penser à les bander. Je respirais profondément et sa question quelques minutes plus tôt me revint en mémoire, je n'y avais pas répondu, mais je ne voulais pas qu'il garde cette idée pour lui, qu'il n'ose plus revenir vers moi par la suite. J'inspirais profondément avant de me lancer. Tu n'avais rien fait de mal tout à l'heure. J'avalais ma salive difficilement, heureusement, il s’occupait de ces mains tant et si bien que je parlais à ces cheveux, cela me simplifiait drôlement la tâche. C'est moi, je ... je n'ai pas eut la chance de Lux de trouver quelqu'un de bien pour survivre. Un ... homme m'a enlevé et ... enfin tu vois. Je n'avais surement pas besoin d'entrer dans les détails alors que je chuchotais ces révélations. Je sais que tu n'es pas comme ça, mais quand on s'approche de moi brusquement comme ça, j'ai ... j'ai encore ce genre de réaction. Je ne lui avait pas parler qu'il était le père de Skye, que ce monstre avait engendrer une petite fille aussi douce qu'elle, peut être qu'il arriverait lui même à cette conclusion sans que j'ai besoin de le dire. Pourtant, je baissais la tête, comme toujours parler de cette période, même sans entrer dans les détail, me replongeais dans l'horreur et contre ma volonté, des larmes firent leur apparition aux coins de mes yeux.
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyDim 12 Avr - 20:01



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Philaé & Jacob

► Se sera parfait Jacob.
Voilà la réponse qu'il reçut, et les tentions s'étaient apaisées...
Après un court moment, Jacob lui demanda alors ses mains pour les bander et un court « Ok. » fit son apparition, la jeune femme était légèrement stressée, et Jacob l'avait bel et bien ressentit, notamment car celle-ci avant de lui confier ses mains fit une grande inspiration.
Le militaire savait alors qu'il fallait être doux et ne surtout pas la brusquée.
Il réceptionna tant bien que mal les avants-bras de Philaé et commença par jeter calmement un coup d’œil à ses blessures, elles étaient rouges vives, mais normalement elle serait soignée rapidement et ça Jacob le savait, en effet autrefois, quand il était encore à l'armée et que l'épidémie n’était pas encore apparut, l'état imposait des contrôles réguliers et des connaissances médicales même minimes à son personnel militaire, c'est donc pour ça que Jacob en connaissait pas mal sur les brûlures et les cicatrisations.
Après avoir soigneusement observer les irritations, Jacob les tamponnas délicatement pour pouvoir les sécher, ensuite il prit le bout de tissu et commença à l'enrouler autour du dessus du pouce et de l’éminence hypothénar, il répéta l'opération avec tendresse et précision sur la deuxième main de Philaé.
Celle-ci se mit à lui parler, en effet quand Jacob est concentré il a cette fameuse habitude de ne pas parler et d'être à fond sur ce qui l'occupe.
Elle lui dit qu’il n’avait rien fait de mal tout à l’heure, Jacob entendu mais sur l’instant il ne sut pas quoi répondre, de plus il finissait de bander la blessure, après un petit instant de silence elle reprit:
► C'est moi, je ... je n'ai pas eut la chance de Lux de trouver quelqu'un de bien pour survivre. Un ... homme m'a enlevé et ... enfin tu vois.
Sur le moment Jacob s’arrêta de soigner pendant quelques secondes puis il reprit l’air de rien, il réalisait enfin le pourquoi du comment!
La jeune femme avait subit un traumatisme par un autre homme, et Jacob ne lui demanda pas d’entrer dans les détails, d’abord par politesse mais aussi parce qu’il n’y a pas cent milles terreurs à faire subir surtout en la laissant en vie...
En tant que militaire et ayant vu beaucoup d’horreur, Jacob savait à quel point les traumatismes pouvaient affectés le mental et le comportement...
Le courage de Philaé le toucha profondément, mais bien sure il ne put s’empêcher de s’énerver au coin de sa tête contre la saleté quil lui avait fait du mal et qui l’avait rendu ainsi.
Jacob ne l’interrompit pas, il savait que garder le silence était la meilleure chose à faire, elle continua par dire qu’elle savait que le jeune homme n’était pas malintentionné et que sa réaction fut simplement le fruit de ses terreurs.
Jacob termina enfin, et passa la bande dans uns des replits.
► Voilà j’ai terminé, dit-il en lui souriant.
Il reprend:
► Tu sais tu n’a pas besoin de t’expliquer, j’ai... comprit, on a chacun vécu des trucs horribles depuis l’épidémie, et maintenant la seule chose qu’on peut faire c’est essayer de tourner la page...
Et je suis sûre que tu vas y arriver.

Jacob en tentant de la rassurer, mit ses deux mains sur celle de Philaé, il la regarda un bon petit instant, les yeux qu’il avait en face de lui était sur le point de pleurer, et il voulait pour le mieux du monde empêcher ça.
Il frotta avec légèreté sa main sur le dessus de celle de Philaé, comme pour lui montrer sa présence rassurante et sécurisante.
Les battements de coeur de la jeune fille était ressentis à travers le bandage, par son poux et ainsi par Jacob qui rechauffait sans le vouloir la petite poigne de la jeune femme.


Dernière édition par Jacob O'Connor le Mar 14 Avr - 20:28, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyLun 13 Avr - 11:25

You could call it chemistry
Jacob & Philaé
J'avais finalement réussis à lui donner mes mains, aussitôt et avec une douceur naturelle, il avait commencé à me soigner, s'occuper de mes mains et je sentais un fourmillement pas désagréable me remonter le long des bras à chaque fois que ces doigts entrait en contact avec ma peau. Il faisait attention à ne pas faire les choses brusquement, à le faire avec douceur et ceci avant même que j'ai commencé à parler, me prouvant qu'il avait peut être en partie compris que se n'était pas lui, mais bien moi qui avait un problème, j'étais cassée, plus tout à fait en état de marche et pourtant je faisais tout pour me réparer. Quand enfin j'ouvris la bouche essayant de lui expliquer maladroitement les choses, il continua de s'occuper de mes mains, il ne releva pas la tête et ne dit pas un mot. Sa seule réaction, fut quand je parlais de ce que cet homme avait fait, enfin, en le sous entendant, je sentis un instant ces mains se figer, sa respiration se coupa et il fallut quelques secondes pour qu'il reprenne son activité. Lui parler fut plus facile que je ne le pensais, rapidement, j'avais évoquer ma situation, le pourquoi du comment et je fus heureuse de l'avoir fait, de ne plus avoir peur ou honte de ce qui m'était arrivée car comme Lilas me le répétais si souvent, je n'étais pas responsable, je n'avais rien fait de mal. Je me mordillais la lèvre nerveusement tout de même, car pour le moment, il n'avait rien dit, il n'avait pas relever les yeux et je ne savais pas ce que j'y lirais alors. Il me fallut encore de longues minutes silencieuse avant d'avoir ma réponse. Il avait finit, il releva alors les yeux vers moi et je ne vis que son sourire, ce qui me fit sourire également. Merci ! Les mains bander, la douleur avait disparus et je me sentis déjà beaucoup mieux, je prenais aussi le temps de l'observer alors qu'au début j'avais tout fait pour éviter son regard, à ce moment, j'avais du mal à détourner les yeux. Surtout quand il entreprit de me rassurer.

Sa voix comme ces gestes étaient douce, il m'avait pris une main entre les siennes et je n'eus même pas la pensé de la retirer, elle était très bien où elle était alors qu'il la frottait doucement la réchauffant petit à petit, il ne me connaissait pas vraiment pourtant il m'encourageait déjà, il me voyait surmonter les épreuves et ma poitrine s'allégea doucement. Même si je suis bizarre parfois, vous avoir près de moi m'aide beaucoup. Oui je le m'était déjà dans le lot, car sa présence était agréable, je ne voulais pas l'imaginer partir, cette idée me déplaisait farouchement. Je serais bien resté là agenouillé près du puits pendant des heures, les yeux perdus dans le siens, la caresse de ces mains sur la mienne, sentant mon cœur faire des embarder à chaque fois qu'il me touchait, c'est à dire tout le temps. Je ne saurais dire le temps que l'on resta ainsi, de longues minutes en tout cas, mais nous avions beaucoup de chose à faire. Est ce que tu veux aller dans le verger un peu plus haut, voir si on trouve quelques fruits épargnés par la tempête. Oui nous devions nous remettre au boulot, pourtant, je n'avais pas envie de le laisser s'éloigner, j'avais envie de partager encore un peu de temps en sa compagnie, d'en apprendre un peu plus sur lui et de toute façon, avec mes mains bander, j'aurais du mal à grimper aux arbres pour ramasser les fruits alors autant le faire avec lui. Je me relevais alors, sans lui lâcher la main je l'attirait avec moi, ma respiration était rapide alors que je me rendais compte qu'il était relativement proche de moi maintenant et mon cœur accéléra quand je m’aperçus que j'appréciais beaucoup cela.

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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyMer 15 Avr - 15:32



You could call it chemistry.
Philaé & Jacob

La présence de Philaé suscitait en Jacob un véritable flot d’émotions, l’instant passé devant elle fut très révélateur pour le grand blond, qui contemplait une femme extrêmement sensible et merveilleusement belle.
Sa main sur celle de la jeune femme, et yeux dans les yeux, il profitait de l’instant présent pour plonger dans l’incroyable charme de la demoiselle.
Cela faisait longtemps que le cœur du militaire n’avait pas battu la chamade, et il en était bien conscient, la rencontre qu’il venait de faire ce matin, resterait gravée dans sa tête.
Elle lui répondit que malgré son comportement hâtif, la présence du jeune blond l’aidait beaucoup et Jacob tout en lui souriant gentillement reprit:
► Tu n’es pas bizarre, tu réagit seulement en fonction de ce que tu as vécu, et je te rassure je ne suis pas un des hommes que tu as pu voir trop souvent.
D’ailleurs si ça tenais qu’à moi j’aurai tout fais pour te protéger...

Le militaire venait sans le vouloir d’avouer qu’il appréciait la compagnie de Philaé, de toute façon elle devait l’avoir deviné.
Les minutes défilèrent sans qu’il s’en rende compte, et Philaé lui proposa après un moment de complicité d’aller voir dans un verger si quelques fruits avaient été préservés de la tempête.
► Ah oui avec plaisir, j’ai un petit creux en plus! Dit-il en plaisantant.
Jacob était quelqu’un de gourmand, non pas un gros mangeur bien au contraire mais une personne qui a toujours affectionné les fruits et les simplicités culinaires, et c’est toujours avec un sourire qu’il se releva avec Philaé, sa main plaqué dans celle de la jeune femme, il se retrouva assez proche d’elle, et il la regardait tendrement.
Le début de leur rencontre avait peut-être été un peu bizarre mais maintenant c'était vraiment tout le contraire, et les battements de cœur de Jacob étaient intenses puisqu'il les ressenties dans ses tympans.
Il regarda les mains de la jeune femme, et il répondit:
► Après si ça te dérange pas il faudra désinfecter et changer tes pansements avec de vrais bandages, je veux pas que tu risques d'avoir une infection...
Pour de vrai?... Et oui Jacob commençait déjà à s’inquiéter pour Philaé, preuve encore une fois que cette rencontre ne lui était pas anodine, et qu'il commençait très tôt à ressentir quelque chose de puissamment fort.
Enfin ils partirent les deux en direction du verger, qui se trouvait un peu plus haut que le puits; et sur le chemin marchant les deux côte à côte, Jacob voulut en apprendre plus sur Philaé, certes son passé depuis l'épidémie était accablant mais peut-être qu'avant la jeune femme était réellement bien dans sa peau.
► Et sinon tu faisais quoi avant tout ça?
La curiosité du jeune homme l'emporta, et il voulait en apprendre plus sur ce petit bout de femme.
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MessageSujet: Re: You could call it chemistry feat Jacob You could call it chemistry feat Jacob EmptyJeu 16 Avr - 22:07

You could call it chemistry
Jacob & Philaé
Le temps sembla s'effacer, il ne voulait plus rien dire alors que je regardais vraiment Jacob pour la première fois. Son regard doux qui ne quittait pas mes yeux, son petit sourire en coin qui me faisait sourire en retour, j'avais l'impression d'être une adolescente, ma gorge se serra, des papillons voletaient dans mon ventre et quand il me rassura, quand il jura que lui m'aurais protéger, mon cœur fit une violente embardé et j'eus l'impression de me trouver dans les montagnes russes tant les sensations qu'il me faisait éprouver me faisaient me sentir vivante. Cela me donnait le tournis, cela m'étais aussi encore plus en contraste ce que j'avais vécu dans le passé, mais pour faire ressortir encore plus fort le meilleur de ces quelques minutes en sa compagnie. Je me rendais compte qu'il se passait quelques chose, que nous partagions quelques choses, pourtant, j'aurais bien été incapable de mettre des mots dessus, bien trop tôt, bien trop vite. Il me faudrait encore régler beaucoup de choses avant de pouvoir envisager autre chose qu'une amitié, même si l'idée de ne plus pouvoir ressentir ces petits picotements sur ma peau lorsqu'il me touchait ainsi les mains était triste je dois bien le dire. Je n'avais pas envie de bouger, pourtant, je savais que nous devions le faire, ne ne pouvions pas rester ainsi à rien faire, mais surtout s'était le risque que l'on nous trouve dans cette situation, j'étais encore moins prête à répondre à des questions qu'à oser imaginer vivre une histoire autre qu'amical.

C'est moi qui mit un terme à tout cela, je me demandais quand même curieuse comment cela se serait finit si je n'avais pas proposer d'aller faire un tour jusqu'au verger. Il trouva l'idée très bonne et m'annonça avoir une petite faim, je le comprenais parfaitement, qui pouvait se vanter de manger à sa faim de nos jours. Peu de monde à vrai dire et c'est en souriant que je pus lui annoncer ma trouvaille du matin. Alors je me ferais un plaisir de te cuisiner les légumes que j'ai ramasser tout à l'heure. En espérant que tu aimes les carottes bien sur ? Bon d'accord, j'allais faire à manger pour tout le monde, mais bon, ça je n'étais pas obligé de le souligner et d'ailleurs je ne comprenais même pas pourquoi j'avais tant envie de lui faire plaisir à lui alors que je ne le connaissais pas. La réponse me vint alors très rapidement, quand il s'assura que je comptais bien le laisser me soigner les mains en rentrant, il ne voulait pas que cela s'infecte, que j'ai un problème et je souris avec tendresse, il s'inquiétait pour moi réellement, mais surtout il n'attendait rien en retour. Promis, on fera ça dès que l'on rentre. Je souris en coin en remettant une mèche de cheveux derrière mon oreille et je ressentis une vieille sensation, de vieux souvenirs remonté à la surface, du temps de l'université, alors que je discutais avec mon seul et unique petit ami. J'étais en train sans le vouloir de charmer Jacob, les choses s'étaient faite naturellement, mais alors que nous nous mettions en route, j'étais plus que troublée. Je m'étais crus amoureuse de Jeremiah, pourtant, je n'avais jamais eut ces gestes naturels, je n'avais jamais ressentit ces fourmillements et ces papillons aussi fort en sa présence et là avec Jacob tous semblait multiplier par mille. Pourtant, une fois encore je me freinais, je ne voulais pas être le genre de fille qui pense tomber amoureux du premier venu à chaque nouvelle rencontre.

Il fallait marcher quelques minutes avant d'arrivée à l'orée des premiers arbres fruitier, la ballade commença dans le silence, nous marchions l'un à côté de l'autre et j'essayais de ne pas écouter la petite voix qui me suppliait de lui prendre la main, de la serrer de nouveau contre la mienne. Heureusement, une nouvelle fois Jacob posa la bonne question, il voulait savoir ce que je faisais avant que tout ne devienne dingue. Je m'éclaircis la voix, ça s'était un sujet facile, un sujet heureux et qui ne demandais pas trop de marcher sur des œufs. J'étais une toute jeune professeur. Je venais de finir mes études et je commençais à enseigner à une classe de lycée. Je m'étais spécialisée dans la littérature. Je croisais les bras, ne voulant pas me demander une fois de plus où j'en serais si les zombies n'avaient pas pointé le bout de leur dent. Je n'ai jamais rien fais que se soit en sport ou en combat qui aurait pu me préparer à cette vie là. D'ailleurs, j'ai tiré réellement avec une arme il y a quelques jours seulement et s'était sur une maison vide. Je ne pense pas que j'aurais réussis à toucher un rôdeur. J'eus un petit rire triste et amer en me remémorant cette journée. Et toi ? Tu faisais quoi ? J'étais curieuse je devais bien l'avouer, j'avais moi aussi envie d'en connaitre plus sur lui et son passé.
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